Comment Réussir tes Vidéos d’Escalade en 10 Étapes Simples

Comment reussir tes videos d'escalade
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Je vais t’avouer une chose:

Si tu penses pouvoir réaliser des vidéos d’escalade seulement avec ta GoPro sur ton casque, alors je dois te demander d’arrêter tout de suite.

Si tu veux quand même le faire, alors je souhaite bon courage à ceux qui vont la regarder. Dit-leur de prévoir un sac plastique à proximité car ils risquent d’avoir un sacré mal de mer!

Non, ce n’est pas la bonne approche.

La GoPro est idéale pour les vidéos de ski ou de wingsuit mais n’est pas du tout adaptée à l’escalade.

C’est bien dommage car la caméra embarquée est géniale pour capturer des images et réaliser des films sans trop se prendre la tête.

Pour tes vidéos d’escalade, tu vas devoir aller plus loin.

Alors oui, ce sera plus difficile que d’attacher une caméra à ton casque.

Mais tellement plus intéressant à faire!

Et pour un résultat génial.

Comparatif video avec gopro ou sans

Faire une vidéo d’escalade, c’est cool. La réussir c’est mieux.

Et pour ça, tu ne dois pas simplement filmer ton grimpeur.

Tu dois raconter une histoire.

Une histoire avec des rebondissements, du suspense, de l’excitation, du drama.

Mais comment faire tout ça?

Comment créer du suspense ou de l’excitation quand on filme son pote en train de grimper?

Je t’explique tout dans cet article.

Je décris les 10 étapes que tu dois suivre pour réussir tes vidéos.

Mieux! Pour les rendre épiques.

Je te donnerai aussi quelques conseils pour bien préparer le tournage, ce qui est extrêmement important.

Enfin, je partagerai avec toi des astuces pour réussir la post-production.

Plus quelques bonus. 😀

Lis la suite pour tout savoir…

 

 

#1- Présente le lieu où se trouve la falaise ou le bloc

L’idéal est de pouvoir capturer des images de la zone en faisant un panorama latéral.

Si tu as de quoi te payer un rail de travelling, c’est le top.

Mais c’est très cher.

Donc, si comme moi tu n’as pas les poches pleines, tu peux réaliser un panorama simple en utilisant tes bras.

Mais c’est pas top niveau stabilité.

Donc, si tu es un peu bricoleur ou bricoleuse, sache que tu peux fabriquer toi-même ton rail de travelling pour 20-25€.

La vidéo ci-dessous te montre comment.

Voici ce dont tu as besoin:

  • 8 roues de skateboards
  • 2 charnières équerres 90 degrés
  • 1 plaque bois
  • Des vis, écrous, rondelles et écrous papillons de 8 mm
  • 2 poignées
  • 2 tubes pvc de 2 mètres
  • 2 tubes pvc pour la largeur ( longueur à définir selon l’écartement des charnières de votre chariot )
  • 4 coudes pvc

Le rail présenté mesure 2 mètres mais des tubes PVC existent aussi en 4 mètres.

Avec ça, tu vas pouvoir faire des travelling simplement magnifiques.

Astuce Bonus: Capture également un time-lapse du soleil qui se couche ou des nuages qui vont et viennent au-dessus des lieux.

#2- Présente le ou les grimpeurs que tu vas filmer

Place les sujets de ta vidéo (aka les grimpeurs que tu vas filmer) devant un beau paysage, ou au pied d’un bel arbre.

Demande-leur de se présenter.

Tu peux utiliser cet exemple de texte:

« Salut, je m’appelle ……….. Je suis originaire de …………. et je grimpe depuis ………….. « .

Ensuite, entrecoupe cette séquence par des passages dans lesquels ton grimpeur (au choix):

  • Met ses chaussons
  • S’échauffe
  • Fait son nœud d’assurage
  • Brosse les prises
  • Visualise la voie

Côté matériel, le mieux est d’utiliser un tripod afin d’être sûr de bien capturer le visage du grimpeur sans trembler.

Si tu n’en as pas (comme moi), prévoit un tabouret et quelques bouquins pour essayer d’obtenir un surface suffisamment plane pour poser ta caméra et filmer la séquence.

Tu peux aussi regarder la vidéo ci-dessous qui te présente 3 façons ultra simples de fabriquer des supports pour ta caméra. (La 3ème est juste trop pratique!)

Astuce Bonus: Demande à ton grimpeur ou ta grimpeuse de raconter comment il/elle a débuté l’escalade, qui lui a fait découvrir et comment il/elle a commencé à se passionner pour ce sport.

 

#3- Présente le site d’escalade

1ère étape:

Montre des images de la falaise ou des blocs avec une courte profondeur de champ.

Ajoute-y des gros plans de la nature environnante comme:

  • Un ruisseau qui coule non loin
  • Des oiseaux dans un arbre
  • Des insectes qui se baladent au pied de la falaise
  • Les différentes plantes avec le vent qui souffle dessus

2ème étape:

Demande à ton grimpeur ou ta grimpeuse de s’approprier le lieu.

Filme-le et demande-lui de parler du spot:

« [Ce spot] est un de mes préférés. J’y viens depuis [Dire depuis quand] et les voies y sont [Dire quelque chose de positif sur le spot]. »

 

#4- Présente la voie/le projet que ton grimpeur travaille

A la suite de la phrase citée en numéro 3, demande à ton grimpeur (ou ta grimpeuse hein! 😉 ) de dire quelques mots sur son projet.

Ca peut donner quelque chose comme ça:

« Cette voie m’a particulièrement attirée. Elle s’appelle ………… et elle est cotée ……… . Je la trouve vraiment intéressante car ……….. . Etc… »

Astuce Bonus: Demande à ton grimpeur de dire quelques mots sur l’historique de la voie:

  • Qui l’a ouverte?
  • Depuis quand?
  • Y a-t-il une histoire sympa en rapport avec elle?

 

#5- Fait monter le suspense en montrant la lutte de ton grimpeur pour réussir la voie

Montre ton sujet qui essaie de passer le crux encore et encore.

Montre-le en train d’échouer. Plusieurs fois.

Pourquoi?

Car ça va créer un vrai suspense!

Va t-il y arriver? Non? Oui?

Si le problème est un bloc, montre ton grimpeur échouer sur tous les mouvements.

Montre chaque échec 2 ou 3 fois.

Demande lui également de montrer à la caméra ses mains abimées à force d’échouer (voire ensanglantées).

Ça montre qu’il/elle essaie d’envoyer à son max mais sans succès.

N’hésite pas à montrer les coups de colère après chaque échec:

  • Ton grimpeur qui crie
  • Ton grimpeur qui envoie un grand coup de pied dans son sac de pof

 

(Note: J'ai mis à la fin de l'article un bonus téléchargeable au format PDF: une check-list qui reprend les 10 étapes de cet article en détail.)

 

#6- Montre les progrès de ton grimpeur pour faire monter l’excitation

Lors de cette étape, tu vas montrer que ton grimpeur (ou ta grimpeuse) commence à s’approprier les mouvements.

Montre qu’il réussit à enchaîner quelques sections.

Mais attention!

Le crux doit rester un échec.

Montre les chutes à chaque fois qu’il essaie de le passer.

Le but est de faire monter une petite excitation chez les personnes qui vont regarder la vidéo.

Ils doivent ressentir que le grimpeur y est presque!

Mais qu’il manque juste un petit quelque chose pour qu’il enchaîne la voie en totalité.

A ce moment là, tu dois insérer une interview du grimpeur qui va expliquer, décrire, son ressenti face à cette difficulté:

« Ce passage est vraiment difficile. Il demande une bonne explosivité pour réaliser le premier jeté. J’ai vraiment du mal à ressentir le mouvement suivant. Je me retrouve dans une position que je ne sens pas du tout. J’ai du mal à savoir pourquoi. Dans tous les cas, le passage se finit sur la plus petite réglette que j’ai jamais vu! »

Bref, demande-lui de te parler de son ressenti, de comment il voit ces difficultés, etc…

Astuce Bonus: Pour filmer ton grimpeur au moment où il tente de passer le crux, tu peux le faire via plusieurs angles de vue:

Par en dessous, par en dessus ou directement depuis la falaise en fixant une caméra juste au-dessus du crux (sur un spit par exemple).

 

Fixe une caméra (une gopro par exemple) au dessus du crux.

Fixe une caméra (une gopro par exemple) au dessus du crux.

C’est sûr que ça va te demander un peu de préparation mais le jeu en vaut la chandelle, non!?

 

[Tweet « Comment Réussir tes Vidéos d’#Escalade en 10 Étapes Simples »]

 

#7- Crée l’arc dramatique de la vidéo, de l’histoire que tu racontes

C’est le moment d’ajouter un peu de drama à ton histoire.

Ton grimpeur se trouve seul face à ce passage vraiment difficile à envoyer.

Que dois-tu faire?

C’est simple.

Montre ton grimpeur face à la falaise, réfléchissant à son problème.

Répétant les mouvements dans le vide.

Tapant dans ses mains pour enlever le surplus de magnésie (au ralenti, c’est génial 😉 ).

Puis montre le en train de travailler dur pour passer le crux.

Montre qu’il y a de l’espoir!

Que malgré tous ces échecs, il peut y arriver.

 

#8- Montre ton grimpeur qui enchaîne ENFIN la voie

Il est maintenant temps de montrer ton sujet reprendre la voie ou le bloc depuis le début.

Cette fois-ci, tu dois faire en sorte que la musique qui accompagne sa montée annonce que quelque chose va se passer (hip-hop ou électro font très bien l’affaire).

Filme depuis plusieurs angles:

Par en dessous, par en dessus, par le côté.

Tu peux entrecouper la montée par des gros plans montrant le grimpeur agrippant ou posant les pieds sur de minuscules prises.

Les personnes qui regarderont la vidéo doivent se rendre compte de la difficulté!

Enfin un gros plan du visage du grimpeur au moment où il effectue le dernier mouvement.

Le moment où il attrape la dernière petite réglette, annonçant sa réussite.

Astuce Bonus: C’est bien le seul moment où la caméra embarquée sur le casque du grimpeur peut être utile. Quelques plans rapides donneront du dynamisme à la vidéo.

Des ralentis seront aussi très utiles.

 

#9- Filme la descente triomphale de ton grimpeur

Tu dois faire ressentir tout le travail qu’a réalisé le grimpeur ou la grimpeuse pour arriver au bout de ce projet.

Filme-le en train de redescendre ou debout au-dessus du bloc, tout sourire.

Hurlant sa joie!

Réalise ensuite une interview. Elle pourra ressembler à ça:

« Je suis encore complètement abasourdi(e) d’avoir réussi ce projet! Ça faisait tellement longtemps que je l’avais en tête. J’ai vraiment galéré mais je n’ai jamais lâché. »

Tu vois l’esprit du truc?

Le grimpeur doit donner son ressenti à chaud sur ce qu’il vient de réaliser afin que les personnes qui verront la vidéo ressentent eux aussi cet accomplissement.

 

#10- Conclus la vidéo

Voilà, c’est le moment de filmer la conclusion de cette super vidéo d’escalade.

Filme tes potes en train de ranger le matériel et de décapsuler une bière.

Réalise également un time-lapse du soleil qui se couche, annonçant la fin de la journée.

Et la fin de la vidéo.

C’est le moment d’intégrer les remerciements.

Tu peux faire ça en retournant la caméra vers toi et en faisant un petit speech dans lequel tu remercies toutes les personnes que tu veux…

Et c’est dans la boite. 😉

 

Comment bien préparer le tournage de ta vidéo d’escalade pour la réussir

Bien préparer le tournage ta vidéo de grimpe est INDISPENSABLE.

Beaucoup de vidéos font amateur car les personnes qui l’ont faites n’ont pas pris le temps de la préparer.

Ne fait pas cette erreur. Cette étape est cruciale.

Pourquoi?

Car ça va te permettre de mettre bout à bout de façon cohérente toutes les séquences que tu vas tourner.

Et donc rendre ta vidéo intéressante pour ceux et celles qui la verront.

Les 10 étapes que j’ai décrites dans cet article sont idéales si tu veux raconter une histoire: l’histoire d’un grimpeur ou d’une grimpeuse qui s’attaque à un projet difficile.

Mais la vidéo peut avoir une intention humoristique ou poétique!

Les séquences seront d’ailleurs certainement différentes que celles décrites ici.

(Je ferai des articles sur ces types de vidéos dans l’avenir en faisant intervenir des spécialistes. Je pense que ça sera très intéressant!)

Alors, comment on fait pour préparer le tournage?

Il te faut travailler sur 2 choses:

Un scénario et un storyboard.

Le scénario comporte les différentes séquences de la vidéo et leurs enchaînements, accompagnés des dialogues ou interviews.

Le storyboard apporte tous les éléments utiles au tournage, sous la forme souvent d’une bande dessinée (des croquis suffisent) : cadrages, plans, sons, musiques, etc…

Exemple de storyboard vidéo de grimpe

Exemple de storyboard

Essaie d’être le plus précis possible: une fois sur le terrain tu sauras exactement quoi faire.

De plus, si jamais une scène est trop difficile à faire, tu pourras t’adapter plus facilement en prévoyant des plans de secours.

Mieux vaux avoir trop d’heures de tournage que pas assez. 😉

Appuie-toi sur les 10 étapes contenues dans cet article pour établir ton scénario et ton storyboard.

Et adapte-les! Fait appel à ton imagination!

Sache aussi que  préparer le tournage, c’est aussi préparer le lieu de tournage.

Ce sera le plus souvent en extérieur, alors fait des repérages afin de savoir à quels moments la lumière est la plus belle.

Et qui dit tournage en extérieur, dit conditions climatiques incertaines.

Le pluie peut s’inviter lors de ton tournage par exemple. Prévoit de quoi mettre à l’abri ton matos.

Quelques astuces pour réussir la post-production de ta vidéo

Maintenant que tu as des heures de tournage sur ton disque dur, tu vas pouvoir enfin les mettre bout à bout et produire la vidéo que tu souhaites.

Concernant les logiciel existants, il y en a pour toutes les bourses.

En gratuit, les plus utilisées sont:

Vidéospin (Windows)

Videospin de Pinnacle

 

iMovie (Mac) – Gratuit si préinstallé, 14,99€ sinon

iMovie

 

 Jahshaka (Windows, Mac, Linux)

Jahshaka

 

C’est l’idéal pour débuter dans le montage vidéo. Ces 3 logiciels permettent d’obtenir de supers résultats.

Si tu préfères investir dans un logiciel professionnel, alors tu pourras te tourner vers des logiciels comme:

 

Adobe Première Pro (À partir de 23,99€/mois)

Adobe Premiere Pro

 

Pinnacle Studio (Windows – À partir de 59,95€)

Pinnacle Studio

 

Final Cut Pro (Mac – 299,99€)

Final Cut Pro

 

AVS Vidéo Editor (Windows – À partir de 29€)

AVS Vidéo Editor

Voilà pour les logiciels.

Assure-toi néanmoins que celui que tu choisiras pourra lire le format des séquences que tu vas enregistrer avec ta caméra.

Regarde la section « Aide » de chaque logiciel avant de le télécharger ou fait une recherche Google.

Par où commencer ensuite?

C’est simple:

Sélectionne les séquences absolument indispensables à ta vidéo (le passage final du crux, l’explosion de joie du grimpeur, etc…) et placent les dans l’ordre logique, en suivant le storyboard.

Ne les édite pas encore.

Laisse les brutes car elles vont être les fondations de ta vidéo. Tu pourras les éditer plus finement plus tard.

Maintenant, rajoute petit à petit les scènes qui se déroulent entre chacune des séquences de base que tu as déjà ajoutées dans ton logiciel.

Suis toujours ton storyboard pour savoir où placer chaque scène.

Sélectionne ensuite les interviews, les citations de ton grimpeur ou de ta grimpeuse et placent les aux moments où elles servent au mieux l’histoire.

Je t’ai donné quelques exemples tout au long de l’article mais c’est TA vidéo, place-les là où tu penses que c’est le plus pertinent.

Place enfin les prises de vue en travelling des paysages, les gros plans sur la faune et la flore, etc…

Ce sont d’excellents moyens de faire des transitions entre les moments clés de ta vidéo.

Attention: conseil très important!

PENSE À SAUVEGARDER TON TRAVAIL!

Sauvegarde très souvent, pas seulement quand tu as fini. Ça serait vraiment trop con de perdre des heures de boulot à cause d’une coupure de courant…

Maintenant la touche finale:

L’édition.

Comment faire?

Laisse parler ta fibre artistique! C’est le moment de donner le rythme que tu veux à la vidéo.

Des enchainements rapides vont donner des séquences sous adrénaline très nerveuse.

Alors que des enchainements plus lents, plus doux, vont plus inspirer à la réflexion ou permettre de donner un côté poétique à la vidéo.

Lis le chapitre suivant si tu veux aller plus loin.

 

Quelques ressources sur le web

Si tu veux aller plus loin en post-production (ou en réalisation de film/clip en général), je te conseille de suivre les liens ci-dessous:

16 sites dédiés à la post-production vidéo (en anglais)

Ce tuto vidéo sur Adobe Premiere Pro: Apprendre à monter sa première vidéo de skateboard (Dommage que ça ne soit pas sur l’escalade, mais c’est très instructif)

Apprendre le cinéma (un blog sur le cinéma avec tout un tas de conseils pour réussir tes scénarios par exemple)

Smartvideo.fr (Un blog avec des astuces pour faire de super films avec un smartphone)

VideoClip Makers (Un blog sur la création de clip vidéos, avec par exemple un article sur les différents types de caméra que tu peux utiliser)

Une vidéo géniale qui revient sur les différents aspects de la post-production vidéo

Enfin, sur cette page, tu trouveras tout un tas de formations payantes en ligne pour te former à la post-production sur pleins de logiciels.

 

Ce que tu dois retenir

Si il y a une chose que tu dois ABSOLUMENT retenir de cet article c’est:

Prépare ta vidéo le mieux possible.

C’est de cette préparation que découlera la suite de ton travail.

Tout dépend de ça.

Alors n’hésite pas à y passer du temps.

Ensuite, sur le terrain, il te faudra certainement trouver quelques combines pour réaliser tes prise de vues.

Ça peut être un peu compliqué. Mais c’est ce qui fait aussi que c’est super intéressant à faire avec tes potes.

Enfin, dernier conseil, comme pour l’escalade: Pratique, pratique et pratique.

Et tu verras qu’avec du travail et de l’envie, tu feras des vidéos à couper le souffle. 🙂

j'ai-fait-cette-video-de-grimpe

 

Besoin d’aide Supplémentaire? Ce Bonus te Sera Très Pratique

Voilà, je viens de te donner les clés pour réussir tes vidéos d’escalade.

Mais je me suis dis que ça pourrait être pas mal si tu avais une check-list de toutes les étapes sur un fichier au format PDF, facile à imprimer.

Donc, j’ai créé un bonus au format PDF qui reprend les 10 étapes.

Tu peux le télécharger et l’imprimer facilement.

Cool non?

Tu n’as plus qu’à cliquer sur le lien ci-dessous pour le télécharger.

 

 Crédit photo: climbing.com

 

4 Comments

  • Payrouse Nicolas

    25/08/2015

    Très beau travail. Merci pour le partage.

  • YannickH

    25/08/2015

    Avec la plupart des appareils photos reflex numériques actuels, on est capables de filmer en donnant un rendu cinéma grâce aux faibles profondeurs de champs, ce qui est impossible avec les caméras vidéos (Gopro ou autres). Apprendre à gérer sa profondeur de champs c’est déjà améliorer son rendu vidéo…

  • François BELLET

    25/08/2015

    Merci pour la contribution Yannick!

    C’est vrai que je n’ai pas parlé du matériel pour filmer.

    Je vais rajouter un chapitre dédié.

  • François BELLET

    25/08/2015

    Merci Nicolas. 😉

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